Concilier travail et séjour à l’étranger pour les petits budgets avec le Woofing

Très pratique, le woofing permet d’associer un travail à l’étranger tout en exerçant un job d’appoint. Je vous livre les astuces à retenir.

Un tourisme alternatif enrichissant

En fait, le woofing consiste à financer le voyage tout en travaillant. En contrepartie, l’adepte du woofing  ou woofer est nourri et logé gratuitement par un hôte.

Il exerce principalement auprès d’une exploitation agricole biologique. Le woofing autorise la découverte économique d’une destination afin de réduire les frais de séjour.

Le woofing intéresse les plus jeunes qui veulent s’évader autrement en apportant leur petite contribution aux travaux de la ferme.

Un concept qui s’est généralisée

Au départ, le woofing est destiné aux exploitations agricoles biologiques. La tendance gagne actuellement les gîtes ainsi que les hôtels et même les particuliers.

Ces derniers proposent le gîte et le couvert contre des travaux de jardinage, de bricolage ou du babysitting.

Des contreparties toujours réciproques

Toujours convenus à l’avance, les contreparties sont considérées comme des missions. L’hôte et le woofer mettent en place l’organisation de tâches variées.

Cela dépend du type de ferme, de la zone consacrée et de la saison. Cela peut inclure des cueillettes lors des récoltes, de plantations, des travaux champêtres.

Il faut intégrer le soin des animaux. Pour sa part, l’hôte permet de découvrir une région, la transmission de savoirs.

Ce mode d’échange est disponible à travers toute la planète. Il est possible de pratiquer le woofing en Europe, en Asie, en Amérique ou en Océanie.

Les frais réduits à prévoir

Le woofing propose un séjour authentique en immersion avec les locaux. Le woofer paie uniquement le billet d’avion, les frais de loisir liés à ses sorties et ses activités.

Il ne se préoccupe pas de l’hébergement et de la nourriture qui représentent un budget conséquent. Le temps libre est consacré aux visites, aux randonnées et aux circuits divers.

Les autres apports du woofing

Le woofing facilite l’apprentissage d’une autre langue. Elle permet de découvrir de nouvelles cultures, de se former aux tâches agricoles.

Les origines du woofing remontent aux années 1970 au Royaume-Uni. Il suffit de se rendre sur le site dédié sur World Wide Opportunites on Organic Farms.

Il faut juste sélectionner une destination afin de devenir membre. Il convient d’acquérir le guide de répertoire des fermes biologiques qui hébergent des woofers dans leurs pays respectifs.

Il faut penser à contrôler le visa de travail indispensable, hors Europe. Retrouvez plus de sujets ici.   

Crédit Photo : naturetours.fr & franceinter.fr

Louisa

Fun, voyages, copines, ce sont les mots clé de ma vie ! Essayez vous ne serez pas déçu !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *